Le film «Les femmes du Pavillon J» a été projeté pour la première fois au public national et international à l’occasion du Festival international du film de Marrakech (FIFM). Son réalisateur Mohamed Nadif revient avec Yabiladi sur l’histoire de ce long-métrage, qui constitue une «grande opportunité» pour lui et toute son équipe.
Dans cinq jours, Tunis accueillera les Journée théâtrales de Carthage, avec la participation du Maroc qui est représenté par deux compagnies professionnelles. Bémol, ils sont toujours bloqués à Rabat et ne savent pas s’ils pourront être présents à l’événement, faute de feu vert du ministre de tutelle qui, selon eux, «n’est jamais là».
Baga, Bocchus Ier ou encore ses petits-fils Bogud et Bocchus II étaient des rois amazighs contrôlant des territoires de la Maurétanie (actuel Maghreb) à un moment où la République romaine se transformait en empire. Fils du roi Juba 1er ayant combattu les Romains, Juba II était quant à lui un prince amazigh nommé à la tête du même territoire par le premier empereur romain.
Le film «Lalla Aïcha» du réalisateur et scénariste marocain Mohamed El Badaoui a été projeté, dimanche, dans le cadre du Festival international du film de Marrakech (FIFM). Tourné dans la région du Rif, il s’agit d’un vibrant hommage à la lutte des femmes pour garantir des conditions de vie digne à leurs familles, particulièrement dans le monde rural.
Abdel Hamid Gharbaoui, dit Benny B, est le premier danseur et rappeur à avoir introduit cet art à la scène française, au milieu des année 1980. Devenu rapidement la coqueluche des émissions de variétés, en Belgique et en France, il est fier de défendre le fait que «le premier rap français est marocain».
L’émission spéciale MRE, présentée par Mohamed Ezzouak, est le fruit d’un partenariat entre Radio 2M et Yabiladi.com.
Disputé samedi, le derby entre le Raja et le Wydad de Casablanca a été marquant par ses buts, mais également par ses tifos. Parmi eux, certains brandis par les Aigles se sont distingués par leurs références à George Orwell ou au grand réalisateur Stanley Kurbick. Autant d’allégories qui donnent de la consistance culturelle voire politique aux rencontres sportives.