Au Conseil de sécurité, les négociations se poursuivent sur le projet de résolution sur le Sahara occidental. Pour dépasser le blocage, il n’est pas exclu que les Etats-Unis présentent une deuxième mouture.
La deuxième session ordinaire du Comité technique spécialisé de l'Union africaine sur les transports, les infrastructures transcontinentales et interrégionales, l'énergie et le tourisme organisé en Egypte connait la participation du Maroc et du Front Polisario. Un fait qui n’est pas sans rappeler les crises précédentes entre Rabat et Le Caire autour du dossier du Sahara occidental.
Ancien bras droit du président du parti espagnol d’extrême gauche Podemos, la jeune marocaine Dina Bousselham s’est retrouvée au cœur d’un scandale politique.
Si Mustapha Salma Ould Sidi Mouloud les considèrent comme des propos qui «affectent la crédibilité» du Polisario devant les Sahraouis, Mahjoub Salek considère que les déclarations du président mauritanien Ould Abdel Aziz sont une «vérité que le Polisario tente de cacher». En attendant, les relais médiatiques du mouvement de Brahim Ghali tentent déjà d’y apporter une deuxième lecture.
Dans une interview accordée en début de semaine au journaliste palestinien Abdel Bari Atwan, le président mauritanien a affirmé que «l’Occident, les Etats-Unis et l'Europe ne veulent pas d’un Etat séparant géographiquement la Mauritanie et le Maroc». «Tout ce que vous entendez, en dehors de ce cadre, est faux», a-t-il confié. Une position qui rappelle celle déjà exprimée en 2008 par Peter