A l’heure où le Maroc continue de s’appuyer sur son système de Santé pour faire face à la pandémie du coronavirus, deux fiscalistes de l’OCDE ont proposé des réformes fiscales afin d’assurer un financement durable au secteur de la Santé. Une proposition que les deux économistes marocains Abdelkhalek Touhami et Azeddine Akesbi approuvent.
En matière d'efficacité des mécanismes de règlement des différends mis en place par le Maroc, l’OCDE souffle le chaud et le froid. L’organisation estime que dans l’ensemble, le Maroc respecte moins de la moitié des éléments du Standard Minimum de l’Action 14, mais qu’il doit encore mettre à jour ses conventions fiscales.
Phénomène datant de plusieurs années mais remis en avant avec la pandémie du nouveau coronavirus, les médecins étrangers dans les pays riches sont de plus en plus nombreux. Représentant plus de 25% du personnel médical dans les Etats membres de l’OCDE, ils sont surtout Algériens et Marocains en France.
Le Maroc pourrait ne plus recourir à de nouvelles opérations d’amnisties contre les auteurs de fuites de capitaux. Un objectif dont la réalisation reste toutefois suspendu à la ratification par le Parlement du décret-loi 2.18.177, adopté par le gouvernement en février 2018 et toujours bloqué à la Chambre des représentants.
Les éléments fournis par l’OCDE dans un rapport publié hier prennent le contre-pied de l’image d’une Europe croulant sur l’immigration africaine, chiffres à l’appui.
La crue d’un oued fin août a mis en lumière, s’il le fallait, les dysfonctionnements en matière de gestion des catastrophes naturelles. Les mesures pour déplacer les habitants des zones à risque tardent à venir, à l’instar d’une prévention encore trop lacunaire.
A quatre jours de l’ouverture des Assises de la fiscalité, l’ONG Oxfam dresse le bilan des inégalités au Maroc, alimentées de plein fouet par des privatisations à outrance, en l’occurrence dans les secteurs de l’éducation et de la santé.