A quatre jours de l’ouverture des Assises de la fiscalité, l’ONG Oxfam dresse le bilan des inégalités au Maroc, alimentées de plein fouet par des privatisations à outrance, en l’occurrence dans les secteurs de l’éducation et de la santé.
Le 1er novembre 1988, le journaliste et photographe espagnol Ildefonso Sena documentait officiellement le premier décès d’un migrant en Méditerranée. Il n’avait pas encore 25 ans et était Marocain.
Le royaume récolte les dernières places du classement dans le monde arabe, derrière des pays tels que la Jordanie, la Palestine ou encore le Liban.
Des économistes français démontrent que les flux migratoires sont bénéfiques pour les économies des pays qui les accueillent. Ni les PIB, ni le chômage ne sont impactés. Bien au contraire.
Le Maroc se conforme à une loi internationale sur l’échange des données fiscales. Le texte, signé par le Chef du gouvernement, est entré en application tout de suite après sa publication au BO du 26 février.
Le «brain drain» pèse sur les économies maghrébines, déjà affaiblies par des taux de chômages élevés et des paramètres sociaux et culturels parfois contraignants.