Le protectorat français au Maroc n’a pas réellement favorisé la scolarisation des filles. Il s’est au contraire inscrit dans le choix des autorités coloniales de maintenir l’ordre social établi, ainsi que les traditions et us et coutumes de la société marocaine.
Le Maroc a annoncé, via le directeur général du BCIJ, Abdelhak Khiame, que les Marocaines bloquées en Syrie et ayant rejoint leurs maris, ne seront pas poursuivies en justice si elles rentrent au Maroc. Une nouvelle bien accueillie au sein de l'Observatoire du nord pour les droits de l'Homme, en contact permanent avec les familles de ces Marocaines.
L’affaire Hajar Raissouni montre que le Maroc reste très éloigné du principe de liberté sexuelle sous-jacente aux politiques de santé sexuelle et reproductive pour les femmes. Ces politiques ont pourtant bel et bien été adoptées par le Maroc. Leur mise en application sur le terrain national se révèle très complexe, selon la chercheuse Irene Capelli.
Comparées aux immigrées marocaines qui ont un comportement de fourmis avec l'épargne, les Italiennes peuvent être qualifiées de cigales.