Le 17 juillet 2014 est paru la traduction néerlandaise de "Samuel Pallache, l'homme de trois monde" de Gerard Wiegers et Mercedes Garcia-Arenal, publié en anglais en 2003 et encore jamais en français, ni en arabe. Les auteurs y racontent l'histoire exceptionnelle d'un juif marocain mort le 4 février 1616, émissaire, qui était à la fois diplomate, marchand, corsaire et même, dévoilent les deux auteurs, espion.
Dans tout le Maroc, la période estivale est propice aux affaires pour les «tatoueuses». Si la mode des tatouages éphémères au henné noir séduit chaque année de plus en plus de femmes, elle n’est pas sans dangers. Dermatologue à Casablanca, Leïla Benamar reçoit chaque été, dans son cabinet, des femmes ainsi que des petites filles qui font une allergie au henné noir suite à l’un
Zagora n’est pas simplement cette petite ville touristique tout en longueur d’où partent les caravanes d’une nuit pour touristes européens. Zagora est aussi au cœur d’une région riche d’une longue histoire oubliée dont le traces, partout, subsistent pour qui sait les regarder.
Le parc naturel (régional) Jbel Bouhachem n’a jamais vu le jour mais il existe bel et bien dans l’esprit de ses habitants grâce à la richesse de ses forêts, l’histoire et la culture de la région. Découverte.
Oualidia est l’un des lieux de sortie préférés des Casaouis qui veulent se mettre au vert. Envahi de touristes chaque été, il garde tous ses charmes hors saison.
Chaque année, près de 800 pèlerins juifs viennent prier sur la tombe de Haïm Pinto à Essaouira. Son arrière-arrière-petit-fils, David Pinto a adossé au pèlerinage une énorme organisation religieuse, financière voire politique.
La transformation de l’ancien ministère de la Culture et de la Communication en un ministère de la Jeunesse, des Sports et de la Culture permettra-t-elle une rénovation sérieuse de la politique culturelle de l’État ? Les attentes sont nombreuses. Mahmoud Chahdi dénonce notamment la renonciation récente au principe de gratuité.
L’affaire Hajar Raissouni montre que le Maroc reste très éloigné du principe de liberté sexuelle sous-jacente aux politiques de santé sexuelle et reproductive pour les femmes. Ces politiques ont pourtant bel et bien été adoptées par le Maroc. Leur mise en application sur le terrain national se révèle très complexe, selon la chercheuse Irene Capelli.
Les plantes médicinales constituent une grande richesse au Maroc, insiste Jamal Bellakhdar, dans «Plantes médicinales au Maghreb et soins de bases. Précis de phytothérapie moderne», paru cette année. Un rappel utile alors que leur réputation a été ternie, ces dernières années, par des cas d’intoxications.
La communauté marocaine à Bruxelles compte deux maalemine gnawa. Ensemble, alors qu’ils ne jurent pourtant que par le Maroc, ils réinventent cet art musical religieux en revenant à sa source.