L’implication des Israéliens, au plus haut sommet de l’Etat, dans l’assassinat de Mehdi Ben Barka n’est plus à démontrer. L’auteur du livre «Rise and Kill First» leur attribue le premier rôle dans l’élimination physique du leader de la gauche marocaine.
A la mémoire de Mehdi Ben Barka, enlevé le 29 octobre 1965 à Paris puis torturé jusqu’à la mort, une plaque a été dévoilée jeudi à Gennevilliers. La mairie s’est empressée de réparer les dommages causés à une première plaque, vandalisée en novembre dernier. Le correspondant de Yabiladi à Paris, Marouane Benabid, nous livre un reportage vidéo de cette
Après Mohamed Achaâchi, décédé en 2002 et Boubker Hassouni en octobre 2015, les enquêteurs français qui instruisent le dossier de l’assassinat de Mehdi Ben Barka viennent de perdre Abdelhaq Achaâchi, un des dirigeants du CAB 1, le service qui a supervisé toute l'opération. En 52 ans d’investigations à rebondissements, l’enquête a perdu des témoins clés ; des Marocains mais
Le gouvernement français a autorisé la déclassification de 89 documents se rapportant à l’assassinat de Mehdi Ben Baraka, le 29 octobre 1965 à Paris. Une décision prise par la Commission du secret de la défense nationale, en réponse à une requête d’un magistrat du tribunal de grande instance de Paris. Le fils de Mehdi Ben Barka, Bachir Ben Barka, réagit à cette déclassification. Interview.
Depuis mercredi soir, Bouchaib Arroub, le n°2 des FAR, est alité à l’hôpital militaire de Rabat. Sa maladie lance la course à sa succession à la tête de l’inspection générale des FAR. Hosni Benslimane, le chef de la gendarmerie royale, semble le mieux placé. Mais l’affaire Ben Barka pourrait lui barrer la route.