Dans une interview, la directrice générale de la Fondation Touria et Abdelaziz Tazi (TAT) et de la structure culturelle L’Uzine, Maria Daïf, évoque son expérience dans le cadre du Festival Moussem Cities. Invitée à l’événement, elle a décidé de le boycotter en protestation contre les conditions d’octroi de visa. Yabiladi publie le droit de réponse du consulat
Invitée à animer une table-ronde sur les expériences de chorégraphes et danseurs contemporains marocains, dans le cadre du Festival Moussem Cities à Bruxelles, Maria Daïf, directrice générale de la Fondation Touria et Abdelaziz Tazi et de l’Uzine, n’a pas été présente au rendez-vous. Dans une lettre ouverte, elle s’indigne contres les restrictions de visa imposées aux acteurs culturels de la
«La mise en place d'une ‘stratégie globale’ visant à prévenir et lutter contre l'immigration clandestine, l’extrémisme violent et le terrorisme». Voilà ce qui a été plaidé par les parlementaires des Etats membres du «Dialogue 5+5»[1] réuni-e-s le samedi 20 janvier à Alger. Parmi eux/elles, figuraient des représentant-e-s du PJD, du PAM et de l’UFSP, d’après
Le roi Mohammed VI veut développer l’échange d’information entre les pays africains pour mieux gérer les flux migratoires sur le continent.