Le débat entre la darija et l’arabe classique s'est accaparé une bonne partie de l’espace médiatique marocain ces derniers temps. Mais voilà que l’amazigh, éclipsée par ses rivales, essaie de revenir sous les feux de la rampe en frappant à la porte de l’UNESCO. Des militants demandent à l’organisation onusienne de décréter une journée mondiale de l’amazigh comme c’est le
Les relations entre le Maroc et la Mauritanie ne risquent pas de s'arranger. Un rapprochement avec l'Algérie est en train de s'opérer pour préparer une offensive sur la surveillance des droits de l’homme au Sahara Occidental.
Le week-end dernier Laâyoune abritait une réunion sur les droits de l’homme au Sahara, à l’initiative d’un centre d’études présidé par l'ancien ministre Mohamed Aujjar. Mardi, une petite manifestation d’une vingtaine de personnes, soutenus par cinq ressortissants espagnols dont certains torses nus, a attiré l'attention des forces de l'ordre et des médias espagnols et marocains.
Khadija Ryadi, ancienne présidente de l’Association marocaine des droits de l’homme, fait partie cette année des lauréates du Prix des Nations Unies pour la cause des droits de l'Homme. La récompense lui sera officiellement remise demain à New-York.
Khadija Riyadi, ancienne président de l’Association marocaine des droits de l’homme (AMDH) et toujours membre active de l’association, recevra demain, mardi 10 décembre, à Washington, le prix 2013 des Nations Unies pour la cause des droits de l’homme avec 5 autres nominés. Sur le point de prendre l’avion, elle a eu le temps de répondre, ce matin, aux questions de Yabiladi.
Laâyoune a été de nouveau le théâtre de plusieurs manifestations ce week-end. Si les partisans du Polisario évoquent des raisons politiques à celles-ci, d’autres sources parlent par contre de revendications d’ordre social.
Après les incantations de Hamid Chabat, l’Istiqlal passe à l'action en demandant au gouvernement Benkirane d’inscrire le Sahara oriental à la 4ème commission de l’ONU. Une première ! Un cadre du PJD qualifie la requête de «surenchère politicienne».
Les prisons marocaines seront de nouveau auscultées par l’ONU. En prévision de cette visite, une partie de la société civile se mobilise. Elle s’est réunie avec le Chef du gouvernement, sollicitant son intervention sur le dossier des détenus salafistes. Benkirane n’a rien promis, en revanche il a posé ses conditions.