Offensive diplomatique du Maroc aux Etats-Unis. Parallèlement à la conversation téléphonique du roi Mohammed VI avec Ban Ki-moon, le président du CNDH et le délégué interministériel aux droits de l’Homme ont tenu à New York une réunion avec les représentants des pays membres du Conseil de sécurité. Détails.
Le 17 avril, le Conseil de sécurité examinera le dossier Sahara occidental. En attendant cette date, le secrétaire général de l’ONU a présenté son rapport sur la question dans lequel, il a recommandé la mise en place d’un mécanisme de surveillance des droits de l’Homme dans la région. Il souhaite également accorder une année supplémentaire au Maroc et le Polisario pour réaliser du
Selon la presse espagnole, le gouvernement espagnol est déjà en état d’alerte. Et pour cause, le Maroc préparerait une offensive à l'ONU pour réclamer Ceuta et Melilla en 2015. Si cela se confirme, ce serait la première tentative depuis 40 ans.
C’est un rituel. A l’approche de l’examen par le conseil de sécurité de la prorogation du mandat de la Minusro, des ONG et le Polisario ont l’habitude d’adresser des lettres à Ban Ki-moon pour y dénoncer des prétendues violations de droits de l’homme au Sahara. Cette année, le Maroc s’y est aussi mis, histoire de mettre également la pression sur le diplomate sud-coréen.
Le conseil des droits de l’Homme de l’ONU est la nouvelle scène de confrontation entre le Maroc et l’Algérie. Un tour de chauffe avant le début, dans deux semaines, d’un autre round entre les deux adversaires sur le dossier du Sahara occidental, qui aura lieu au Conseil de sécurité.
Attaqué par l’Algérie sur la question du Sahara, le Maroc riposte en comparant Ghardaïa à la ville syrienne d’Alep. La presse algérienne est folle de rage. C’est le dernier épisode de la tension permanente entre les deux pays.
Deux conventions internationales hautement capitales pour l’image du Maroc à l’étranger, moisissent, depuis près d'un an et demi, à la Chambre basse du parlement. En vue de mettre un terme à cette situation, le CNDH entre en jeu et appelle les députés à accélérer la cadence pour les adopter. Le délai pris pourrait s’expliquer par le fait que ces conventions permettront aux marocains de porter plainte
Il y a sept mois, le Polisario annonçait son intention d’exploiter les ressources naturelles qui pourraient se trouver sous le sol de la zone tampon. Un appel qui a, visiblement, eu un écho favorable auprès d’une société pétrolière, basée à Londres. Mais que fera le Maroc ?