Dans un document rendu public, la Banque mondiale a mis en avant les approches intersectorielles mises en place par le Maroc pour réaliser ses engagements en matière de climat. Une occasion pour l’institution financière de se féliciter du «leadership» du Maroc quant aux approches économiques en rapport avec cette question.
Ce composé polyatomique, responsable de la pollution des eaux, affecte surtout les nourrissons en raison de l’immaturité de leur système digestif. Au Maroc, la situation est connue depuis longtemps.
Dans son rapport sur le secteur privé au Maroc, la Société financière internationale (SFI) a reconnu que les prix des principaux produits alimentaires sont «nettement plus élevés au Maroc». Et de donner l’exemple de l’eau en bouteille dont le prix reste 17% plus élevés que dans des pays de la région MENA.
En raison de la baisse du taux de fécondité et l’augmentation de l’espérance de vie à la naissance, la population marocaine n’échappera pas à la tendance mondiale et atteindra 46,166 millions en 2050 avant de commencer à baisser vers 2070, selon l'ONU.