Le 8 juillet 2007, les Marocains, et le monde entier, découvrent le sniper de Targuist. Sur YouTube, un jeune originaire d’Al Hoceima se plaisait à filmer des gendarmes en flagrants délits de corruption. Ses vidéos rencontrent un franc succès et lézardent davantage la réputation des hommes de Hosni Benslimane. Mars 2013, il décide de sortir de l’anonymat et révéler, au grand public, sa véritable
Le roi Mohammed VI a accepté les démissions des cinq ministres de l’Istiqlal. Une première au Maroc. Sous les anciennes constitutions, les membres du gouvernement n’avaient pas cette liberté, c’est le roi qui les limogeait.
Sans contestation, le passage de Benkirane, hier, au parlement a ravi la vedette aux programmes des télés marocaines. Le one man show, gratuit, du chef de gouvernement a éclipsé les sitcoms produites à coup de millions de dh pour la grille de ramadan. Récit des moments phares.
Après une année et sept mois passés dans les rangs de l’opposition, le RNI n’arrive pas à oublier son premier amour : la majorité. Le parti de la Colombe accepte de remplacer celui de la Balance. Sauf coup de théâtre, il devrait fournir assez d’énergie pour que la flamme de la lampe des frères de Benkirane reste allumée jusqu’à la fin de son mandat en 2016.
La crise politique entre l’Istiqlal et le PJD s’est invitée à la célébration de la Fête du 14 juillet à Rabat, dans le jardin de la résidence de l’ambassadeur. Ambiance bon enfant, complicité entre Charles Fries, ambassadeur de France au Maroc, et Abdelilah Benkirane, ont conduit à quelques traits d’humour mémorables.
Le PJD et le RNI sont sur le point d’enterrer la hache de guerre. Ironie du sort, c’est Salaheddine Mezouar, qualifié de proche d’El Himma par une écrasante majorité des partisans du parti de la Lampe, qui devrait assurer la continuité du gouvernement Benkirane. L’affaire des primes échangées entre Mezouar et le Trésorier général du royaume est donc jetée aux oubliettes. Les islamistes
Deux mois, jour pour jour, après la décision de son conseil national de se retirer du gouvernement Benkirane, l’Istiqlal rentre officiellement dans les rangs de l’opposition. Chabat ne devrait pas avoir le moindre mal à s’imposer en tant que chef de file de l’opposition. Benkirane est appelé à chercher un autre allié pour combler le vide dans sa majorité, causé par le retrait du parti de la Balance. Le RNI,
Rabat sous pression au deuxième semestre 2013 ? Après le rapport saillant du Fonds monétaire international (FMI) sur l’état de l’économie marocaine en avril dernier, c’est la banque française Natixis qui pointe les «fragilités» contre lesquelles «l’économie marocaine doit lutter depuis quelques années». Le soutien aux ménages est, une nouvelle fois, jugée
Majesté, A l’occasion de la deuxième année de la reconnaissance officielle de la langue et de l’identité amazighes dans la Constitution du premier juillet 2011/2961, permettez moi d’attirer votre attention sur l’évolution préoccupante de l’amazighité, qui est devenue une question incontournable du passé, du présent et du futur du royaume du Maroc.