Le divorce entre Chabat et Benkirane est, plus que jamais, une question de temps. Les deux leaders ont atteint le point du non-retour. Le secrétaire général de l’Istiqlal a même appelé son homologue du PJD à chercher un autre allié capable de lui garantir la majorité au parlement.
Mardi 18 juin, Hamid Chabat annonçait, alors qu’il était en tournée au Sahara, que sa réunion avec le roi est prévue cette semaine. Il a eu raison. Le souverain l’a reçu aujourd’hui. Une audience que Benkirane refuse de commenter.
A défaut d’une participation aux élections législatives et communales, les MRE auront-ils au moins une présence au Conseil économique et social ? Même si le texte n’est pas encore adopté, nombreux sont les signaux attestant de la volonté des groupes à la Chambre des conseillers de corriger et l’erreur du cabinet Benkirane et de leurs collègues les députés en vue d’accorder aux
Alors que le roi Mohammed VI présidait, samedi à Jerada, une réunion de l’INDH, Benkirane était à Salé présidant une rencontre consacrée à la création de l’association des ingénieurs de son parti. Une mise à l’écart qui suscite des interrogations sur l'état des relations entre le roi et son chef de gouvernement. Serait-ce la conséquence des critiques exprimées,
Hamid Chabat ne perd pas espoir pour une rencontre avec le roi Mohammed VI. Sa popularité et son leadership en dépendent. Au Sahara, le secrétaire général du parti de l’Istiqlal (PI) a annoncé que sa réunion avec le monarque est prévue pour la semaine prochaine. Est-ce là une manière pour le SG du PI de forcer un arbitrage royal dans la crise qui l’oppose à Benkirane ?
Le PJD est inquiet. Les salafistes, un réservoir naturel de voix fidèle à la Lampe, viennent de faire une OPA sur le parti d’Annahda wal Fadila de Mohamed Khalidi, une scission du PJD. Une expérience qui n’est pas sans rappeler les conditions dans lesquelles Benkirane, El Othmani et Ramid étaient entrés au parlement, voilà plus de 16 ans.
Une année et huit jours après l’augmentation des prix des carburants, voilà que Benkirane revient à la charge. C’est, en effet, la première fois qu’il brandit, publiquement, une telle menace, apparemment, la coupe de 15 milliards de dh dans le budget d’investissement ne lui a pas suffi.
Plus de 19 000 citations référencées sur Google dans la webosphère turque en l’espace de 24 heures. Notre article sur la visite d'Erdogan qui a tourné court, a déchainé les passions au pays d’Atatürk. Du jamais vu pour un media électronique marocain. Explications.
S’il y a un sujet où la droite en Espagne est à cheval, c’est bien entendu, sur la sécurité. Le gouvernement Rajoy se met à la page et crée son Conseil National de Sécurité. Un SNC qui considère le Maroc comme une menace sérieuse. Les dossiers de conflits avec Rabat sont multiples. Pire, en cas de guerre, Madrid devrait compter sur sa propre armée. Ni l’UE ni l’OTAN ne lui seront