A mesure que la guerre à Gaza s'enfonce dans l'horreur, les revendications du PJD et de son secrétaire général vont crescendo. La dernière en date, signée par Abdelilah Benkirane, rappelle une précédente incursion dans un domaine sous prérogative royale.
Actuellement dans les rangs de l’opposition, le PJD bénéficie d’une marge de manœuvre assez large pour exprimer haut fort son soutien au mouvement palestinien Hamas, saluer les attaques menées, le 7 octobre, par sa branche armée et même demander l’expulsion du chef du bureau de liaison israélien au Maroc.