Le chef de gouvernement turc, Recep Tayyip Erdogan ne gardera pas de bons souvenirs de son premier déplacement au Maroc. Son tête-à tête avec le roi Mohammed VI n’a pas eu lieu. En somme une visite-monologue au cours de laquelle, il s’est réuni, uniquement, avec ses «frères» islamistes.
Selon le quotidien Le Parisien et la publication en ligne doualia.com, les autorités françaises ont renforcé la sécurité autour du palais royal de Betz. Le quotidien parisien attribue ce déploiement à des menaces de mort qu’aurait reçu le roi Mohammed VI.
Même en étant à la tête de la majorité gouvernementale, certains élus du PJD n’oublient pas leur premier amour : l’opposition. Hier au parlement, le groupe des députés de la Lampe s’est attaqué aux 18 milliards de dh de l’INDH, un projet pourtant hautement royal.
Les relations maroco-espagnoles s’apprêtent à traverser une zone de turbulences. Madrid tient à extraire le pétrole dans le plateau continental situé à 60 km du littoral marocain. En prévision de toute réaction hostile de Rabat, le gouvernement Rajoy travaille à transformer les Iles Canaries en une base militaire avec la présence d’avions F18 et l’installation de nouvelles antennes de communication.
Mahjoub Tobji a mis un terme à sa grève de la faim. Installé en France depuis plusieurs années, cet ex-officier de l’armée marocaine avait recouru à ce geste «ultime» après avoir été privé pendant plusieurs mois de sa pension de retraite qui lui était versée par le Maroc.
Pour commémorer le 65ième anniversaire de la perte de la Palestine, les Frères musulmans, au pouvoir en Egypte, optent pour l’envoi de critiques à la présidence du roi Mohammed VI du comité Al Qods. Une offensive qui apportent implicite un soutien au plan qatari visant à créer un fonds destiné à la ville sainte d’un milliard de dollars. Une manière pour contrecarrer et pourquoi pas éclipser
Deux jours après la décision du Conseil national de l’Istiqlal de se retirer du gouvernement Benkirane, l’heure est à l’expectative. Le PJD, sur un ordre de Benkirane, opte pour le silence. Hamid Chabat, quant à lui, attend un rendez-vous avec le roi Mohammed VI pour soulever la carte qui serait, bien entendu, conforme à l’arbitrage royal. Analyse.
C’est le dégel. L’axe Rabat-Washington fonctionne de nouveau. Obama ne s’est pas contenté de téléphoner au roi Mohammed VI mais il l’a également invité à se rendre, courant cette année, aux Etats-Unis.
Après une période de calme précaire sur le front PJD-El Himma, les hostilités reprennent de nouveau. C’est le président du groupe parlementaire des islamistes qui mène le combat. Benkirane, tenu par ses obligations gouvernementales, lui a cédé cette mission.