Les dés semblent désormais jetés : Le gouvernement Benkirane sous sa forme actuelle n’a plus que quelques semaines ou mois à vivre. Le stratagème du pion Chabat et de ceux qui le téléguident a toutes les chances de réussir. On se dirigera donc probablement vers une nouvelle coalition (mais laquelle?), ou vers des élections anticipées.
Une nouvelle famille vient s’ajouter à la longue liste des victimes de spoliations immobilières au Maroc. Dans une vidéo mise en ligne vendredi, Fatima Bajjouk, une Marocaine installée aux Etats-Unis, affirme que les documents de propriété de sa maison, située à Casablanca, dans le quartier Bourgogne, ont été falsifiés par une bande spécialisée. Explications.
Le divorce entre Chabat et Benkirane est, plus que jamais, une question de temps. Les deux leaders ont atteint le point du non-retour. Le secrétaire général de l’Istiqlal a même appelé son homologue du PJD à chercher un autre allié capable de lui garantir la majorité au parlement.
Mardi 18 juin, Hamid Chabat annonçait, alors qu’il était en tournée au Sahara, que sa réunion avec le roi est prévue cette semaine. Il a eu raison. Le souverain l’a reçu aujourd’hui. Une audience que Benkirane refuse de commenter.
Comme en 1995, le Qatar connait une nouvelle révolution de palais à une exception près, c’est le père qui abdique, cette fois, au profit de son fils. Les raisons de ce changement ne sont pas encore révélées : S’agit-il d’un dictat des Etats-Unis en représailles aux mauvaises fréquentations du cheikh Hamad de certains milieux intégristes, hostiles à Washington ? Concernant les relations entre
Après des missions loin du Maroc, Moulay Hicham se voit confier une nouvelle : superviser, pour le compte de HRW, les droits de l’Homme dans la région MENA. Et le royaume du Maroc en fait partie. Human Rights Watch est réputée au royaume pour être une ONG proche du Polisario.
Alors que le roi Mohammed VI présidait, samedi à Jerada, une réunion de l’INDH, Benkirane était à Salé présidant une rencontre consacrée à la création de l’association des ingénieurs de son parti. Une mise à l’écart qui suscite des interrogations sur l'état des relations entre le roi et son chef de gouvernement. Serait-ce la conséquence des critiques exprimées,