Moins de deux semaines après la main tendue du roi Mohammed VI, le président Abdelaziz Bouteflika a lui aussi fait part de sa volonté de raffermir les relations entre le Maroc et l’Algérie. Le chef de l’Etat algérien promet d’œuvrer pour «un avenir reposant sur la coopération, la solidarité et le bon voisinage».
Le roi Mohammed VI s’est adressé aux Marocains ce dimanche 6 novembre, à l’occasion du 36e anniversaire de la Marche verte. Le Maroc, a répété le souverain, reste disposé à poursuivre les négociations sous l’égide de l’ONU mais n’entend pas céder la moindre parcelle de son territoire et promet que «le Sahara marocain sera un véritable modèle de régionalisation
Wikileaks et ses grosses révélations ! Selon un câble diplomatique américain rendu public par Wikileaks, le roi Mohammed VI serait intervenu en août 2009 pour faire libérer Karim Wade, le fils du président sénégalais, arrêté à l’aéroport Mohammed V de Casablanca pour possession de drogue. L’intervention de Mohammed VI serait motivée par son amitié avec Wade fils, mais aussi par
Le début d'année 2011 a connu une intensification des révoltes arabes avec la chute des présidents tunisiens et egyptien. Le 20 février, inspirés par ces exemples, des milliers de Marocains, descendent dans les rues pour entamer leur «révolution», à l’appel du Mouvement du 20 février. Ils n’avaient pas demandé un changement à la tête de l'Etat, mais une limitation des pouvoirs du roi.
Après avoir appelé, dans son discours du 30 juillet à la tenue des législatives dans «les plus brefs délais», le roi Mohammed VI a insisté lors de son allocution d’hier, sur la neutralité des pouvoirs publics afin que ce scrutin prévu le 25 novembre soit «libre». Aux acteurs politiques, le souverain appelle à rompre avec les pratiques électoralistes «scandaleuses» qui ont
Après l’adoption de la nouvelle constitution, le roi Mohammed VI met le cap sur la formation d’un gouvernement dont le Chef sera choisi au sein du parti majoritaire au parlement. Des élections anticipées sont donc en vue, peut-être avant la fin de l’année. Mais dans la classe politique, on s’interroge sur les risques de législatives précipitées.