Un magazine conservateur en ligne a proposé la semaine dernière à l’Europe et à l’Espagne une nouvelle formule pour mettre fin aux flux migratoires. Le point sur les principaux avantages avancés par ce média pour rétrocéder Ceuta et Melilla et débarrasser l’Espagne et l’Europe de ces deux «talons d’Achille».
Une sénatrice de Podemos a déclaré que Ceuta et Melilla ne sont pas espagnoles. Le ministre de l’Intérieur n’a pas tardé à réagir aux propos de la parlementaire. Quant à la direction de la formation d’extrême gauche, elle se garde d’aborder ce sujet, même si Pablo Iglesias et les siens se montrent compréhensifs à l’égard des ambitions indépendantistes des Catalans et des