A quand la fin de la crise maroco-espagnole de ces dernières semaines ? Difficile de répondre à cette question, surtout après la lecture d’un article de Pedro Canales, journaliste espagnol du portail www.elimparcial.es. Selon le journaliste connu au Maroc pour avoir été correspondant d’El Pais, le Royaume a profité de la crise inattendue, survenue après les événements au poste frontalier de Melilla, pour
Le boycott commercial annoncé le jeudi 12 août par deux associations marocaines a eu ses premières conséquences sur la ville de Melilla. Ce boycott est le premier d'une longue série d'actions qui risquent de déstabiliser davantage l'économie de la ville, qui dépend déjà des échanges avec le Maroc.
L'incident de la sardine à Melilla, après avoir provoqué des déclarations ministérielles, a finalement atteint les Royautés espagnole et marocaine. Après un entretien téléphonique personnel, le Roi d'Espagne, Juan Carlos et le Roi Mohammed VI ont déclaré mercredi que de tels «malentendus» ne devaient pas nuire aux bonnes relations entre les deux pays. Mais autour de Melilla, les esprits ne se calment pas
La tension monte entre Rabat et Madrid au sujet de la gestion des frontières de Melilla. Le ministère marocain de Affaires étrangères accuse une nouvelle fois les forces de l'ordre espagnoles de racisme envers les Marocains, et tente ainsi de faire pression sur la Guardia Civil. Déchiffrage.
La section du Parti populaire (PP) espagnol à Melilla demande à Madrid de protester officiellement auprès du Maroc. En sport, beaucoup de supporteurs des Lions de l’Atlas seraient insatisfaits de la liste des 24 joueurs devant affronter la Guinée équatoriale en amical. Et le site de réseautage social Facebook consacre un mois au Maroc, à travers son jeu YoVille Zinga.
Après la réaction rapide et sans équivoque de la part du ministère marocain des Affaires étrangères à l'agression d'un étudiant marocain en possession 1,5 kg de sardines au poste frontière de Melilla, le côté espagnol donne une toute autre version des faits. Au passage, les poissons ont disparu de l'histoire. Explications.
Les gardes frontières espagnols se sont une nouvelle fois identifiées par leur comportement peu exemplaire. Lundi, un Marocain a été victime de «violence physique» au poste frontalier de Melilla. Dans la même journée, le ministre des Affaires étrangères et de la coopération, Taieb Fassi Fihri, a reçu à Rabat, l’ambassadeur d'Espagne au Maroc, Luis Planas Puchades, et lui a exprimé
Des activistes marocains se sont distingués cette semaine par des actes dignes des coupeurs de route. Loin de les accuser, leurs agissements pourraient être assimilés à «la réponse du berger à la bergère». De quoi s’agit-il exactement ? Des Marocains agissant de leur propre initiative auraient forcé les automobilistes franchissant la frontière de Béni Nsar dans le sens de Melilla vers le Maroc,
Chaque année, des Marocains – résidant en Espagne ou en transit – en route pour la mère patrie, sont victimes de bavures de la part des policiers et gardes frontières espagnols. Cinq citoyens marocains résidant en Belgique ont été violentés physiquement par des policiers espagnols malintentionnés, la semaine dernière, au poste de Béni Nsar (Nador), durant leur passage en voiture du préside de
Dans son numéro 18 de ce mois de juillet, la publication espagnole sur la sécurité et la défense, «Atenea» consacre une vingtaine de pages à l’analyse des revendications marocaines autour de Sebta et Melilla. En couverture du magazine sous le titre «Maroc, un voisin difficile», le mensuel s’insurge contre «une lente marche verte» des Marocains vers les enclaves de Sebta et Melilla. Il s’interroge