Difficultés d’accès au foncier agricole et au marché, risque de repliement du monde rural sur lui-même… Les petits et moyens agriculteurs se heurtent à plusieurs difficultés que les dispositifs mis en place ne solutionnent pas toujours, faute d’accès aussi aux bonnes informations.
Extrêmement gourmand en eau, le secteur agricole contribue malgré lui à l’assèchement des nappes phréatiques. Des solutions existent, comme l’irrigation au goutte-à-goutte, mais les formations dispensées aux agriculteurs manquent encore.
Depuis des décennies, les relations économiques du Maroc avec Israël ont inclus plusieurs secteurs, mettant la main également sur le secteur agricole et des technologies agricoles. Exemple le plus évident : le matériel utilisé dans les champs ou encore les graines ne permettant d’obtenir qu’une seule récole.
La Cour des comptes a rendu public, mercredi, son rapport annuel 2018, livrant ainsi ses observations en matière de contrôle de la gestion de plusieurs établissements. Un document qui met l’accent sur le secteur agricole, sous la tutelle du ministère de l’Agriculture, de la pêche maritime, du développement rurale et des eaux et forêts.
Une étude de Frontiers of Agricultural Science and Engineering a mis en garde contre une «crise imminente» de l’approvisionnement continu en engrais phosphatés dans le monde. Si la Chine la Russie, l'Inde, et les Etats-Unis n'ont que 20 à 30 ans de réserves, le Maroc qui produit annuellement 33 millions de tonnes, semble épargné par la pénurie à venir.