Au palais royal de Rabat, le roi a reçu et nommé les ministres du gouvernement d'Abelilah Benkirane.
Les résultats définitifs des élections législatives anticipées du 25 novembre viennent de tomber. Ils confirment la très large victoire du PJD devant les autres fomations qui étaient en lice dans ce scrutin. Le parti de Benkirane remporte 26% des sièges au parlement, loin devant l'Istiqlal, 15%. Le RNI se place troisème avec 13% des sièges.
Après l’annonce des résultats partiels donnant une nette avance au PJD, l’heure est aux tractations pour la formation d’un gouvernement de coalition. Le secrétaire général du parti de la lampe, conscient qu’il est «obligé de s’allier avec les autres partis» exclut tout de même cette éventualité avec le PAM. Les partis de la Koutla pour leur part, comptent faire front commun pour
Les principaux partis politiques marocains sont contre le système de vote par procuration mais la plupart a voté pour. Leurs programmes se concentrent sur les mêmes questions générales attachées à la diaspora.
Dans le cadre des législatives du 25 novembre, Yabiladi.com donne la parole aux acteurs politiques marocains. Abdellatif Maâzouz, ministre du Commerce extérieur et membre du Parti de l’Istiqlal dresse, dans ce premier entretien, le bilan du gouvernement sortant et revient sur le nouveau programme de son parti. Maâzouz n’exclut pas une alliance avec le PJD et tire à boulets rouge sur l'alliance de 8 partis désormais baptisée G8.
La scène politique marocaine est en pleine reconfiguration à l’approche des législatives anticipées du 25 novembre. Le Parti de l’Istiqlal, l’USFP et le PPS ont ressuscité la «Koutla» alors que les partis dits de «l’administration» ont réussi à faire naitre un «G8» en s’alliant à des formations plus ou moins représentatives. Seul le PJD fait cavalier seul. Mais ces
Lundi 25 avril, à Paris, s’est tenu un large débat politique sur l’avenir du Maroc et de sa constitution. À l'invitation de l'Association Maroc développement les représentants des principaux partis politiques marocains, ainsi qu’un membre du Mouvement du 20 février ont débattu pendant plus de 4 heures devant un public composé essentiellement de jeunes. Compte rendu.
Pas de raz de marée du PJD, taux d'abstention historique (63%), des ministres candidats sur le carreau, un parti (USFP) qui implose,… Ce scrutin national marque la fin d’une époque sans forcément en ouvrir une autre…