La semaine dernière, le ministère de l’Intérieur a révoqué une dizaine d’élus communaux, dont six présidents. Le PJD compte un de ses membres sur la liste noire de Hassad. Il vient d’être expulsé par la direction du parti.
Relayant des commentaires égyptiens accusant les Frères musulmans d’être derrière la crise avec Rabat, le PAM, USFP, Istiqlal et UC pointent du doigt la responsabilité du PJD.
Après plusieurs semaines plutôt discrètes, Chabat revient en force sur le devant de la scène politique marocaine. Le scandale de l’organisation du mondial des clubs est pour le leader de l’Istiqlal du pain bénit.
La jeunesse du parti de l’Istiqlal se révolte. Elle réclame la rédaction d'une nouvelle constitution au Maroc. Selon elle, celle du 1er juillet 2011 est dépassée et aurait échoué à répondre à certaines attentes se rapportant à la souveraineté et la légitimité.
La Chambre basse du parlement a connu, cet après-midi, une séance de questions orales très particulière. Dans l'ensemble, elle n’a duré que vingt-minutes. Les députés de la majorité gouvernementale comme ceux de l’opposition ont tous sollicité de la présidence, la levée de la séance par respect et solidarité avec leurs collègues du PJD, encore sous le choc du
Après quatre semaines de silence, le secrétaire général du parti de la Balance a fait, jeudi soir, une apparition publique à l’occasion de la tenue de sessions ordinaires des sections provinciales de son parti à Fès et à Moulay Yaâcoub. Une occasion pour lui de revenir sur «la colère royale» qui l’aurait visé.
Une «colère royale» est devenue le nouveau front dans l’interminable guerre entre le PJD et l’Istiqlal. Les amis de Chabat accusent les islamistes d’être derrière la publication d’informations sur une supposé disgrâce du maire de Fès.
L'industrie du tabac est au coeur d'une bataille parlementaire. Le président du groupe des députés du PJD accuse trois élus de l'opposition de corruption afin de bloquer une taxe sur le tabac.
Une association a décidé de porter plainte contre Hamid Chabat pour «vol d’un tableau» des locaux du siège du parti de l'Istiqlal à Tétouan. Il s’agit d’une œuvre du peintre espagnol, Mariano Bertuchi, dont la valeur est estimée à 7 millions de dh.