Le 12 octobre, Brahim Ghali a invité le Conseil de sécurité à laisser la MINURSO organiser un référendum au Sahara occidental. Deux jours après, Bachir Mustapha Sayed reprend à son compte les observations de son supérieur hiérarchique et y ajoute sur un ton critique ce qu'il qualifie de «chantage» de la mission onusienne sur les «territoires libérés».
Dans une note d’information publiée mercredi, Amnesty international rappelle à l’ONU et à sa mission au Sahara occidental son rôle dans l’observation de la situation des droits humains. Elle indique que les prérogatives des Nations unies doivent être également remplies dans les camps de Tindouf.
Dans son dernier rapport sur le Sahara occidental, Antonio Guterres pointe de nouveau le retard dans la création par le Maroc du «Mécanisme national de prévention contre la torture».