Le Maroc dispose d’un nouvel organisme de défense des droits de l’Homme : le Conseil national des droits de l’Homme. Il prend le relais du CCDH (Conseil consultatif des droits de l’Homme) mais dispose d’une marge de manœuvre plus large. A sa tête, Driss El Yazami, encore président du CCME.
Les réformes seront-elles mises en œuvre prochainement ? Des partis et organisations appellent de plus en plus à de profonds changements que ce soit dans les champs politique, social ou économique. Une réunion entre les représentants de cinq syndicats et l’un des conseillers du Roi s’est tenue dimanche dernier, pour parler réformes.
Tout simplement magnifique ! Magnifique de voir tous ces débats, cette profusion de tribunes, de vidéos, de commentaires liés au modèle démocratique que nous voulons pour notre Maroc. Enfin cette société telle un bébé à qui on a trop longtemps donné la tétine, prononce ses premiers mots. Nous n’avons pas eu droit aux traditionnels «papa» ou «mama» mais à
Le Bureau politique et le Conseil National de l’USFP sont parvenus, au terme de débats houleux, à éviter l'implosion du parti. Dans un communiqué commun, le Conseil National de l'Union Socialiste des Forces Populaires (USFP) a demandé à son Bureau politique d'entamer, dans les plus brefs délais, un dialogue franc avec ses alliés et la majorité gouvernementale. L'objectif est de faire des revendications de réformes
Les manifestations que connaît le Maroc depuis le 20 février sont loin de faire l’unanimité. Au niveau des couches populaires comme chez les acteurs associatifs engagés, les opposants au mouvement du 20 février ne manquent pas. Réda Taoujni, président de l’Association du Sahara Marocain (ASM) fait partie de ceux qui tirent à boulets rouges sur ces mouvements de protestation. Interview.
Pour Assia Bensalah Alaoui, ambassadrice itinérante du Maroc, les manifestations du 20 février étaient avant tout un signe de «solidarité avec les peuples tunisien et égyptien». Dans un entretien sur France24, l'ambassadrice évite ainsi les questions sensibles sur le Maroc ou n'y répond que par des affirmations parfois contradictoires. Le message : Au Maroc, tout est «tout à fait clair» et «tout à fait