Moncef Belkhayat, ministre marocain de la Jeunesse et de sports, essuie une nouvelle accusation de népotisme. Le journaliste et consultant Rachid Jankari révèle que le frère du ministre a obtenu un marché public, le site internet du projet Maroc Numeric Cluster. Ce dernier semble vouloir effacer les traces, mais ne fait que contribuer à la controverse sur des pratiques douteuses de son frère ministre.
Hué lors d'un concert à Milan, le ministre chargée de la communauté marocaine résidant à l’étranger, Mohamed Ameur a continué son déplacement en Italie. A Bologne, il a eu une série de rencontres avec des Marocains de la ville, mais aussi les autorités italiennes. Mais certains ne veulent pas oublier la scène de Milan. Une association de MRE va jusqu'à demander la démission du ministre.
Encore une année de plus pour la Minurso. Le Conseil de sécurité des Nations-Unies a décidé ce mercredi (27 avril), de prolonger d’un an le mandat des forces onusiennes au Sahara. Mais, une première, le texte fait mention des droits de l’Homme, même si le mécanisme voulu par certaines parties n’a pas été instauré.
Le Conseil de la Communauté Marocaine à l’Etranger (CCME) arrive-t-il après la guerre ? Il vient de lancer un programme de consultations auprès des Marocains du monde visant à recueillir leurs avis concernant les réformes constitutionnelles... trois jours après que les auditions de la Commission de la révision de la constitution soient terminées.
Les débats sur la réforme de la constitution marocaine sont entamés, non sans différends, mais un sujet reste encore en marge des discussions : les langues. Mourad Alami, linguiste, s’y intéresse pourtant de près. Ce défenseur de l’arabe marocain, auteur de la publication récente «Loughat almaghrib alhhayya: almaghribiya wa alamazighiya», propose que la constitution soit rédigée en darija pour la
Lundi 25 avril, à Paris, s’est tenu un large débat politique sur l’avenir du Maroc et de sa constitution. À l'invitation de l'Association Maroc développement les représentants des principaux partis politiques marocains, ainsi qu’un membre du Mouvement du 20 février ont débattu pendant plus de 4 heures devant un public composé essentiellement de jeunes. Compte rendu.