Un rapprochement inédit a défrayé la chronique, en avril : Omar Djellil «pur produit de la banlieue parisienne», responsable à la mosquée Camille Pelletan à Marseille, a engagé le débat avec Stéphane Durbec, conseiller régional du Front National en PACA et Jean-Marie Le Pen lui-même. 5% des Français musulmans voteraient à l’extrême droite. Absurde ? Non. Un rapprochement
Le juriste marocain Jad Siri a analysé en détail la nouvelle constitution, soumise à référendum le 1er juillet prochain. En premier lieu, il présente les avancées du texte, surtout en matière de reconnaissance de droits de l'Homme, qu'il nuance toutefois. L'égalité homme-femme changera-t-elle la donne en matière d'héritage au Maroc ? Une seconde partie, qui sera publiée jeudi, expliquera les limites du
L'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe (APCE) vient d’accorder au Maroc le statut de «Partenaire pour la démocratie». Ce statut, introduit en 2010 et attribué pour la première fois à un pays non membre du Conseil de l’Europe, engage le Maroc à promouvoir la bonne gouvernance ou encore à supprimer la peine de mort.
Acteur associatif incontournable en matière d'accompagnement de migrants en France, la Cimade fait valoir son expérience du terrain pour faire des propositions en matière de politique d'immigration. Elle s'adresse aux partis politiques et candidats aux élections présidentielles de 2012, avec comme mot d'ordre : Inventer une politique d'hospitalité en France, une valeur que les débats actuels sur l'immigration occultent et tendent à faire
A l’heure ou les «Oui» tombent comme des fruits mûrs du côté des partis politiques marocains, la CDT et l’Alliance de la Gauche Démocratique appellent au boycott du scrutin du 1er juillet.
20 février, 9 mars, 17 juin, 1er juillet, l'année 2011 n'est entamée qu'à moitié, que nous avons déjà une ribambelle de dates qui marqueront l'histoire contemporaine du Maroc. Le référendum sur la constitution qui sera sûrement un plébiscite au vu des scènes de liesse (spontanées ou non) après le discours du roi vendredi dernier devrait marquer l'entrée dans une ère nouvelle, le
Ambiance inédite au Maroc depuis le début du mouvement de protestation populaire : Les militants du Mouvement du 20 février étaient rejoints dans la rue par des contre-manifestants, partisans du nouveau projet de constitution. Un face-à-face qui n’a pas manqué d’être mouvementé, comme à Rabat où les deux camps en sont venus aux mains.
Des millions de Marocains du monde, où qu'ils soient, sont invités à participer au réferendum sur la nouvelle constitution qui aura lieu le premier juillet prochain. Mohamed Ameur, ministre de la Communauté marocaine à l'étranger, a affirmé dimanche à Casablanca que même les Marocains n'étant pas inscrits dans les consulats pouront s'exprimer sur le texte.