Alors que la délégation marocaine qui devait initialement prendre part aux célébrations de «Tlemcen, capitale de la culture islamique 2011», samedi 16 avril, a décidé de s’abstenir en apprenant la présence du Polisario, le président algérien déclare qu’ «il n’y a aucun problème» entre les deux pays.
David Cameron, Premier ministre britannique, a annoncé, jeudi 14 avril, des mesures plus fermes visant à limiter les quotas de migrants. David Cameron a notamment pointé du doigt la politique de ses prédécesseurs à la Primature britannique. Cependant, la politique qu’il entend à présent appliquer ne fait pas l’unanimité dans le gouvernement qu’il dirige.
Plusieurs membres de la société civile marocaine refusent de rencontrer le Commission constitutionnelle. Dernière en date, Attac-Maroc a envoyé vertement promener la Commission. Entre mise en cause de son pouvoir réel, exigences préalables à toute discussion et demande de débat public, chaque association justifie son refus.
Le Sénat a adopté jeudi, en seconde lecture, par 177 voix contre 152, le projet de loi sur l’immigration. La deuxième chambre a notamment voté un compromis sur l’octroi du titre de séjour aux «étrangers malades». Le sésame ne pourra désormais être délivré qu'en cas d'«absence» du traitement approprié dans le pays d'origine.
Mohammed VI a gracié 190 prisonniers politiques, aujourd'hui, jeudi 14 avril. Parmi eux, comptent des détenus incarcérés dans l’affaire du réseau du belgo-marocain Belliraj et des militants des droits de l’Homme. Cette décision intervient suite à la requête du Conseil national des droits de l’Homme. Pour certaines associations des droits humains, il s’agit non seulement d’une décision tardive, mais aussi
Il y a quelques jours, la fuite du rapport sur le Sahara de Ban Ki-moon, Secrétaire général de l’ONU, faisait l’objet d’une polémique. Le rapport indiquait que le mandat de la Minurso serait étendu à la surveillance du respect des droits de l’homme. Bien que les responsables onusiens aient voulu apaiser les esprits en affirmant qu’il s’agissait d’un document sans statut, aujourd’hui, le porte-parole de