Human Rights Watch s'en prend au gouvernement marocain et principalement au ministre de la justice, Mustapha Ramid, pour la dépénalisation de l’homosexualité. L’ONG fustige les déclarations qu’elle juge «homophobes» de Ramid dans les médias marocains après l’épisode du lynchage de Fès.
Trois ONG, l’ACAT, Amnesty International France, et Human Rights Watch ont interpelé le Premier ministre français Manuel Valls à l’occasion de sa visite ce jeudi au Maroc. Elles demandent à ce que la France renonce à un projet d’accord avec le Maroc qu’elles jugent «extrêmement problématique».
Le Collectif marocain des organisations de droits de l’Homme a saisi quatre rapporteurs spéciaux des Nations Unies sur les «restrictions» des activités de certaines associations des droits de l’Homme par le ministère de l’Intérieur. Le gouvernement marocain est tenu d'apporter une réponse à l’ONU.
Près d’une dizaine d’organisations non gouvernementales ont déploré l’attitude des autorités marocaines face aux allégations de tortures. Ces réactions interviennent suite à l’assignation en justice, fin janvier, de l’Action des Chrétiens pour l’abolition de la torture (ACAT) par le Maroc. Ces organisations de défense des droits de l’homme s’inquiètent des poursuites
Le rapport 2015 de Human Rights Watch (HRW) sur les droits de l'homme dans le monde vient de tomber. L’état des lieux au Maroc est encore loin des engagements du royaume dans le cadre de sa Constitution selon l’ONG qui a toutefois relevé un point positif. Détails.