Ce ressortissant français a été condamné sur la base d’un procès verbal qu’il a été contraint de signer alors même qu’il ne comprend pas l’arabe. Au Maroc, le scénario semble manifestement récurrent, selon HRW.
L'ONG internationale Human Rights Watch a réagi lundi quant à l’adoption au Parlement de la loi n° 19.12 relative aux conditions de travail et d'emploi des travailleurs domestiques. Le bureau MENA de l’ONG qualifie la loi de «révolution» mais souligne l’insuffisance de ses nouvelles dispositions.
Elles s’appellent Maâloma, Darya, Najiba et Koria. Elles sont séquestrées dans les camps de Tindouf par leurs familles. Des cas auxquels s’intéresse, désormais, Human Rights Watch. L’ONG demande même l’intervention de Ban Ki-moon.
Après Amnesty internationale en janvier dernier, c’est au tour de Human Rights Watch de tirer la sonnette d’alarme concernant les violences faites aux femmes au Maroc. L’ONG a écrit au gouvernement, particulièrement au sujet des violences domestiques. Reconnaissant l’engagement du Maroc, HRW appelle Rabat à faire de la réforme de la loi, une réforme qui éradique véritablement ce fléau dont souffrent des