L’affaire Nini refait surface. Human Rights Watch (HRW) demande sa libération. Dans un communiqué publié aujourd’hui, l’ONG internationale condamne les lois qui criminalisent la diffamation envers les agents de l’état, ainsi que celle d’ «outrage» d’un fonctionnaire qui entravent la liberté d’expression.
Un champion du monde qui célèbre son titre… en prison. C’est le cas de Sidi Zakaria Moumni. En 1999, à 19 ans, il devient le «premier Marocain et premier Africain» à remporter le titre de champion du monde de «Light Contact». Mais, en janvier dernier, il se voit envoyé en prison par la justice marocaine pour «escroquerie». Selon Human Rights Watch, Zakaria a été plutôt condamné
Ali Salem Tamek, Ibrahim Dahhane et Ahmed Naciri, viennent de bénéficier d’une liberté provisoire. L’ordre a été donné par le juge d’instruction chargé du complément d’enquête par le tribunal de première instance de Casablanca. Les trois Sahraouis étaient incarcérés depuis octobre 2009, pour «atteinte à la sécurité extérieur» puis
A quelques jours de l’examen du rapport du secrétaire général des Nations-Unies sur le Sahara, Human Rights Watch attire l’attention sur le cas de trois détenus sahraouis au Maroc. Pour l’ONG de défense des droits humains, il est grand temps que la justice marocaine donne son verdict dans le procès de Brahim Dahane, Ali Salem Tamek et d’Ahmed Naciri, accusés d’ «atteinte à la sécurité
L’organisation internationale des droits humains, Human Rights Watch (HRW) demande au Maroc de rétablir l’accréditation de correspondants de médias étrangers interdits d’exercer dans le royaume. Notamment ceux de la chaîne Al Jazeera. Pour HRW, le Maroc doit se distinguer des pays arabes qui interdisent la télévision qatarie, puisqu'il a choisi de s’engager dans des réformes de grande envergure.
En 2010, «la situation des droits humains au Maroc et au Sahara occidental était mitigé, voire médiocre à certains égards». Ce constat est de Human Rights Watch (HRW) qui vient de publier son rapport 2011 sur le respect des droits de l’homme dans le monde.
L'Organisation marocaine des droits humains (OMDH) s’est mise d’accord avec d’autres organisations non gouvernementales, pour étudier et analyser les événements survenus dernièrement au camp Agdaym Izik et dans la ville Laâyoune. En attendant les conclusions de cette démarche conjointe, l’OMDH qui a tenté de faire le point sur ces événements tragiques, a rendu public une synthèse d’un rapport,
Comment peut-on maintenir en «surveillance» une personne déclarée libre ? C’est pourtant ce que fait le Polisario avec Mustapha Salma Ould Mouloud. L’ex-inspecteur de la police du Polisario n’a pas donné de nouvelles à sa famille depuis son arrestation le 21 septembre dernier pour «espionnage au profit du Maroc», soit depuis 45 jours. En premier lieu, l'ONG demande au Polisario de permettre l'établissement d'un