Nasser Zefzafi rejette tout dialogue avec les représentants des «officines politiciennes» connues pour leur «proximité avec le Makhzen» et qui lui servent de «babouches». En revanche, le leader du Hirak rifain pose ses conditions à l’ouverture d’un dialogue sincère avec l’Etat.
Non, la pauvreté n’est pas la cause des révoltes sporadiques et populaires que le Maroc a connu ces dernières années, selon David Goeury. Le chercheur, en utilisant cartes et statistiques, a trouvé d’autres liens entre Jerada et Al Hoceima.
Nasser Zefazfi appelle les rifains en tant que «nation» à réaliser des documentaires sur les symboles de leur région, citant notamment El-Khattabi. Le leader du Hirak du Rif souhaite également la création d’une chaîne rifaine qui soit, selon lui, «la voix» de leurs «causes et aspirations.»
Vingt-quatre heures après son retour d’un séjour médical en Suisse, Abdelaziz Bouteflika annonce son retrait de la course des élections présidentielles.