Dans un long rapport rendu public ce jeudi, Amnesty International revient sur la sensible question d’espionnage qui toucherait, selon elle, des militants des droits humains au Maroc. Elle affirme même que les autorités marocaines utiliseraient un logiciel espion de la compagnie israélienne «NSO Group».
La plainte de l’AMDH déposée aujourd'hui devant la cour de cassation risque de mettre au grand jour les couacs entre institutions officielles de l’Etat sur la question sensible des allégations de torture subie par les détenus rifains.
Une large coalition d’organisations a vu le jour pour révlamer la libération des détenus du hirak du Rif et «la levée du blocus» de la région.