Le gouvernement marocain et Amnesty International se sont rencontrés mercredi à Londres. Une réunion tant attendue par l’ONG internationale pour «dissiper le malentendu».
La spoliation des biens immobiliers a fait l’objet d’une réunion au ministère de la Justice. A l’issue de celle-ci une feuille de route a été adoptée pour tenter d’endiguer le phénomène.
Au grand dam de certains partis de l’opposition et des associations féministes, les représentants de la majorité gouvernementale ont approuvé une modification de l’article 16 du Code de la famille accordant un délai de cinq ans pour faire reconnaître les mariages conclus par la Fatiha.
A l’instar d’Amnesty international, Human Right Watch a révélé avoir également écrit au gouvernement Benkirane pour demander de nouvelles réunions. Des requêtes auxquelles l’exécutif n’a pas encore répondu.