En déclarant que son parti ne se rapproche pas du PJD et en couvrant d’éloges le RNI, Mohamed Cheikh Biadillah tente de cacher le soleil avec un tamis. Il s’agit plutôt d’une opération destinée à «construire sa légitimité» à la tête d’une formation, qui comme d’autres partis politiques marocains, souffre d’instabilité.
Six ans après son lancement par les parlementaires du PAM et l’Istiqlal, le débat sur la légalisation du cannabis refait surface.