Le PJD est le large vainqueur des législatives du 25 novembre, mais il n’est pas en mesure de gouverner seul. Ses 107 sièges ne lui donnent pas la majorité absolue au parlement et l’obligent à des alliances pour former un gouvernement de coalition. Une première épreuve pour Abdelilah Benkirane qui se heurte aux surenchères des formations politiques. Des partis dont les alliances pré-électorales ne résistent
Les résultats définitifs des élections législatives anticipées du 25 novembre viennent de tomber. Ils confirment la très large victoire du PJD devant les autres fomations qui étaient en lice dans ce scrutin. Le parti de Benkirane remporte 26% des sièges au parlement, loin devant l'Istiqlal, 15%. Le RNI se place troisème avec 13% des sièges.
Après l’annonce des résultats partiels donnant une nette avance au PJD, l’heure est aux tractations pour la formation d’un gouvernement de coalition. Le secrétaire général du parti de la lampe, conscient qu’il est «obligé de s’allier avec les autres partis» exclut tout de même cette éventualité avec le PAM. Les partis de la Koutla pour leur part, comptent faire front commun pour
Lundi 25 avril, à Paris, s’est tenu un large débat politique sur l’avenir du Maroc et de sa constitution. À l'invitation de l'Association Maroc développement les représentants des principaux partis politiques marocains, ainsi qu’un membre du Mouvement du 20 février ont débattu pendant plus de 4 heures devant un public composé essentiellement de jeunes. Compte rendu.
Après Ramid, c’est le numéro 1 du parti, Abdelillah Benkirane qui mène la charge contre le Parti Authenticité et Modernité (PAM). La colère dans le monde arabe aidant, le Parti Justice et Développement (PJD) veut faire échec et mat au parti de Fouad Ali El Himma, proche du Roi Mohammed VI.
Avec un «projet révolutionnaire» portant sur la régionalisation du Maroc, le Parti Authenticité et Modernité (PAM) pourrait bien déclencher une polémique. Il propose notamment de regrouper les provinces du Sud en une seule région, le «Sahara Occidental», où le Polisario pourrait se présenter comme un parti politique marocain parmi d'autres. Des propositions «scandaleuses», selon l'Association du
Suite au discours prononcé la semaine dernière par le Premier ministre, Abbas El Fassi, devant les élus des deux Chambres du Parlement, Lahcen Daoudi, leader emblématique du Parti Justice et Développement (PJD), revient sur le bilan à mi-mandat du gouvernement. Et le moins que l'on puisse dire c'est qu'il ne mâche pas ses mots.