Les demandeurs d’asile vont voir leur accès à la santé restreint. La plupart des soins seront désormais à leur charge malgré leur précarité.
Le passage du secrétaire général du gouvernement en commission, ses chiffres et son annonce quant aux financements étrangers que reçoivent des associations marocaines remet sur la table un vieux débat. La loi sur les associations et les mesures prises jusque-là sont-elles suffisantes pour instaurer la transparence et lutter contre l’ingérence ?