Des militants des droits de l'homme ont critiqué le rapport du Conseil national des droits de l'homme sur les manifestations d'Al Hoceima, le décrivant comme un «rapport des sécuritaires», qui viserait à «justifier les violations des droits de l'homme» contre les détenus du Hirak.
Pour l'eurodéputée néerlandaise Kati Piri, aborder la question du Hirak «n'est plus une affaire intérieure qui ne concerne que le Maroc». La responsable politique estime que son intérêt pour la question du Hirak est une manière d'«écouter les préoccupations» de ses concitoyens néerlandais d'origine marocaine.