Trois ans après le début des contestations sociales dans la région du Rif et deux ans après les premières arrestations dans les rangs des militants du Hirak parmi ceux ayant comparu au tribunal de Casablanca, des détenus retrouvent la liberté cette semaine. Cependant, les familles de ceux qui ne le sont pas encore restent dans l’expectative.
Les détenus du Hirak rifain et leurs familles ne semblent toujours pas disposés à solliciter des grâces royales. Une position déjà défendue par le père de Nasser Zefzafi et Nabil Ahmajik.