Depuis 1992, date de sa signature, l’accord bilatéral de réadmission des étrangers est peu à peu tombé aux oubliettes. La société civile estime notamment qu’il ne permet pas de garantir les droits des migrants.
Ce vendredi, la secrétaire exécutive de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC), Patricia Espinosa et le président de la 22e Conférence des Parties (COP22), Salaheddine Mezouar annoncent l’entrée en vigueur de l’Accord de Paris. Les deux parties estiment que la COP22 représente «un nouveau départ pour la communauté internationale».