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Grand Angle

COP 22 : L'Accord de Paris est entré en vigueur ce vendredi

Ce vendredi, la secrétaire exécutive de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC), Patricia Espinosa et le président de la 22e Conférence des Parties (COP22), Salaheddine Mezouar annoncent l’entrée en vigueur de l’Accord de Paris. Les deux parties estiment que la COP22 représente «un nouveau départ pour la communauté internationale». 

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Photo d'illustration. /DR
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Bonne nouvelle à trois jours seulement de l’ouverture, à Marrakech, de la 22e Conférence des Parties (COP22). Ce vendredi, Patricia Espinosa, secrétaire exécutive de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC) et Salaheddine Mezouar, président de la COP22 annonce l’entré en vigueur de l’Accord de Paris sur le changement climatique.

« L'Humanité se souviendra du 4 novembre 2016 comme le jour où les pays du monde entier ont arrêté la marche vers une catastrophe climatique qui semblait inévitable et ont ouvert la voie à un avenir durable », indique un communiqué signé conjointement par Patricia Espinosa et Salaheddine Mezouar, parvenu à Yabiladi.

«L'Accord constituera, sans aucun doute, un tournant dans l'histoire de l’effort de l’humanité et matérialise la volonté politique, économique et sociale des gouvernements, villes, régions, citoyens, entreprises et investisseurs de vaincre la menace qu’un changement climatique non maîtrisé représente pour la nature humaine », poursuit la même source. Les deux parties soulignent que l’entrée en vigueur rapide de cet accord est «le signal politique clair que les nations du monde entier sont engagées pour une action mondiale décisive contre le changement climatique».

Les émissions de gaz à effet de serre doivent rester au centre des préoccupations

La COP22 représente donc «un nouveau départ pour la communauté internationale», se félicitent les deux responsables, qui qualifie cette nouvelle de «moment de célébration», et «surtout le moment de se projeter vers l'avenir, sans complaisance, mais avec une volonté ferme de poursuivre notre mission». La CCNUCC et la direction de la COP22 promettent de réunir, lors de l’étape Marrakech, les conditions de réussite de l’Accord de Paris et rappellent que les émissions de gaz à effet de serre, responsables du changement climatique et de ses impacts, doivent être au centre des préoccupations lors de la réunion de Marrakech.

Elles rappellent également les d'actions et d’engagements accompagnant l’Accord de Paris. «Notre capacité commune à initier le changement a évolué de façon irréversible grâce à l’Accord de Paris», poursuit le communiqué, en citant plusieurs raisons dont l’engagement formel des gouvernements pour conduire l'action pour la lutte contre le changement climatique. La même source dit s’attendre à la finalisation des derniers détails des règles qui permettront de mesurer, rendre compte et évaluer l'action climatique mondiale.

«Nous attendons de la conférence de la COP22 de Marrakech qu’elle accélère l’élaboration des règles de transparence et qu’elle voie émerger une feuille de route claire des pays développés pour la mobilisation de 100 milliards de dollars annuels d'ici à 2020 », poursuit le communiqué, en notant que le but étant de «soutenir l'action climatique dans les pays en développement». Et de conclure que « cette dynamique est en marche, mais elle doit s’accélérer. Nous ne pouvons pas, et ne devons pas, baisser la garde avant que le travail soit achevé».

Changement climatique
Auteur : HMIMID69
Date : le 04 novembre 2016 à 11h57
Pendant la COP22 ne pas oublier de placer l'homme en premier responsable de la dégradation devant le phénomène du dégradation naturelle quoi qu'on face.
Parlant concret, plus la population dans le monde augmente plus il y a du désastres inévitable.
En second lieu Mal grée que tout le monde se met d'accord, ca ne sera que retarder ou ralentir le phénomène de changement climatique.
La mailler solution est de réduire la population mondiale et la maintenir autour de 5000000000 d'habitant d'ici 25 ans, de replanter des forêts dans les régions arides.
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