Même écarté de l’exécutif et du gouvernail du PJD, Abdelilah Benkirane continue d’occuper les devants de la scène politique. Ainsi, une cérémonie d’hommage que s’apprêtait à lui rendre le secrétariat général du parti, à l’occasion du 6e congrès de la jeunesse, a totalement éclipsé le conclave.
L’élection hier de Saâdedine El Othmani à la tête du Parti de la justice et du développement (PJD) aura mis fin à des mois de conflits entre partisans et opposants à un troisième mandat d’Abdelilah Benkirane. Professeur de Sciences politiques à l’Université Cadi Ayyad de Marrakech, Abderrahim El Allam revient pour Yabiladi sur cet imbroglio intra-partisan. Entretien.
Dans deux communiqués, le secrétariat général et le conseil national du Parti de la justice et du développement (PJD) entendent clore définitivement la polémique concernant le projet de 3e mandat d’Abdelilah Benkirane, demain au congrès du parti.
Dans un message à Donald Trump, le roi Mohammed VI demande de renoncer à son projet de transférer l’ambassade américaine à Al-Qods. Le souverain a averti le président américain des conséquences d’une telle décision sur le processus de paix au Moyen-Orient. Détails.
Les minorités religieuses au Maroc ont annoncé leur congrès le 18 novembre à Rabat. Or, Hespress avait annoncé samedi que ce congrès, qui constituait une première au Maroc avait été annulé, préconisant un manque de clarté entre les particpants. Une information démentie par Jaouad El Hamidy, président du Comité marocain des minorités religieuses. Détails.
Plusieurs activistes des minorités religieuses ont annoncé la tenue, samedi 18 novembre à Rabat, d’un congrès national pour débattre de la situation de ces minorités au Maroc. Le thème abordé sera «Liberté de conscience et de croyance, entre polémique de la reconnaissance et recherche de coexistence». Pour en savoir plus, Yabiladi a contacté Jaouad El Hamidy, président du Comité marocain