Politiquement, les relations diplomatiques entre Israël et la majorité des pays arabes sont inexistantes ou dans le meilleure des cas, très froides. En dépit de ce contexte, l’expertise militaire et dans le domaine des renseignements est très sollicitée par les Etats de la Ligue arabe. C’est ce que vient de révéler un rapport de l’armée israélienne. Le Maroc -ce n'est pas une surprise-, en fait partie.
Les relations entre le Maroc et la France traversent une nouvelle et mauvaise passe. Il faut dire que le passage d’un président de gauche au palais de l’Elysée semble toujours avoir un effet néfaste sur les rapports franco-marocains. Hier c’était Hassan II avec Mitterrand et aujourd’hui c’est Mohammed VI avec Hollande.
Le roi Mohammed VI a choisi Fadel Benyaich, un de ses proches collaborateurs, pour le nommer ambassadeur du royaume en Espagne. Benyaich, ancien camarade de classe du souverain, est un habitué du Palais. Son père était le médecin personnel de Hassan II.
Le très sinistrement célèbre centre de détention «El Kourbis» est sous les feux des projecteurs, après que des restes de cadavre humain, probablement ceux d'un opposant, ont été trouvé, tout près de ce lieu. Une découverte qui pourrait en cacher bien d’autres.
La commémoration du nouvel an amazigh, 13 janvier, est une occasion propice à la revendication. Le mouvement Youda (Assez) ne fait pas exception, il vient de rendre public la liste de ces doléances où les demandes politiques priment sur le reste.
Dimanche, la ville de Kenitra accueillera une conférence organisée par l’association pour la défense des Marocains expulsés d’Algérie. Trente-huit ans plus tard, le dossier ne parvient pas à s’extirper des tentacules du statut quo. Retour sur un événement tragique.
Fatéma Oufkir est décédée, hier, à 78 ans. Elle était l’un des membres de la famille Oufkir les moins médiatisés. Au moment de la préparation du coup d’Etat de 1972, l’épouse du général et ministre de la Défense, avait la tête ailleurs, pensant plutôt au divorce. Le cours des évènements lui réservait une autre issue : dix-neuf ans de prison pour un
En bon élève de Manuel Fraga, un ancien ministre de la Communication du dictateur Franco, et de l’église espagnole, José Maria Aznar a, durant huit ans, adopté des positions contraires aux intérêts du Maroc. Ses nouvelles mémoires en sont la preuve.