A l'occasion de la commémoration des 50 ans de la disparition de Mehdi Ben Barka, l'avocat Omar Benjelloun a publié une tribune dans le mensuel Le Monde diplomatique "Ben Barka, un mort à la vie longue". Nous revenons avec lui sur le symbole de la disparition du leader tiers-mondiste pour le Maroc, la gauche, et la nouvelle génération de Marocains. Interview.
Il faut croire que les hommes politiques marocains aiment s’accrocher à leur poste. Abderrahmane El Youssoufi et son ancien second et grand rival à l’USFP, Mohamed El Yazghi, sont les seuls chefs de partis à avoir choisi de démissionner à la suite de revers politiques. Quant aux ministres démissionnaires, c’est Ahmed Réda Guedira qui tient incontestablement le haut du pavé.
Nouveau revers pour la direction du Front ? Le 14ème congrès du Polisario n'aura pas lieu à Tifariti. La Minurso serait-elle à l’origine de ce changement ?
La fête de trône de cette année a connu une réconciliation du pouvoir avec une aile de l’Armée de libération nationale. Celle qui refusait de déposer les armes même après l’indépendance du Maroc et de «se ranger» dans les Forces armées royales dirigées par Hassan II, alors prince héritier. Mohamed Ait Idder représente cette partie de l’ALN. Hier, il a
La direction générale de la surveillance du territoire élargit ses prérogatives. Elle ajoute la surveillance des locaux de la DGED et des palais à ses attributions. Une mission qui était du ressort de la gendarmerie royale.
Une association marocaine pro-palestinienne souhaite l’interpellation de Shimon Pères, lors de sa prochaine visite au royaume. Elle vient d’inviter des avocats à saisir la justice contre l’ex-président israélien.
Six semaines avant l’assassinat de Ben Barka, le Maroc avait permis au Mossad de mettre la main sur les documents et les enregistrements d’une réunion de la Ligue arabe, tenue en septembre 1965 à Casablanca. C’est ce que vient de révéler, aujourd’hui, un quotidien israélien.