Dans un rapport présenté ce jeudi, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat s’inquiète de l’érosion des sols et la surexploitation des ressources. Au Maroc, des solutions adaptées aux cultures locales doivent être mises en place.
A l’occasion de la Fête du trône, le 30 juillet dernier, Taghjijt a vécu l’inauguration d’un projet de traitement des eaux usées. Sauf que dans ce cadre, ces dernières sont déversées directement dans l’oasis rattachée à la ville, menaçant plus que jamais le fragile équilibre écologique de toute une région.
Yabiladi lance sa nouvelle série #Fikra. Son objectif : vulgariser des publications scientifiques qui portent sur le Maroc. Très pointues ou trop confidentielles, nombre d’entre elles restent encore aujourd’hui inconnues du grand public alors même qu’elles apportent un éclairage crucial sur le Maroc d’aujourd’hui. Karen Rignall, chercheure aux Etats Unis, a étudié pendant des années le système agricole
Après un mois de consultation populaire et un autre de réunions à plusieurs échelles, le projet de zone militaire dans le cadre du plan d’aménagement de Figuig a été abandonné. Désormais, cette superficie est prévue pour des activités agricoles, bien que la population en ignore encore les grandes lignes.
Du 1e au 31 août, un nouveau plan d’aménagement pour la ville de Figuig fait l’objet d’une consultation publique auprès des habitants. Depuis plus d’une semaine, ces derniers manifestent quotidiennement pour le contester, refusant la conversion d’une grande partie de la ville en zone militaire.
Au Maroc et en moins d’un siècle, deux tiers des oasis ont disparu. L’infime partie qui est préservée est menacée par le changement climatique. Si des actions sont entreprises, il semblerait que l’expertise féminine ne soit pas prise en considération.