L’Andalousie et la ville autonome de Melilla, quelque peu dépassées, ont maintes fois réclamé le retour des mineurs marocains dans leur pays. Une proposition contraire au droit international, qui inquiète les ONG et la gauche de l’échiquier politique espagnol.
Un «viol présumé de deux mineures espagnoles par six mineurs marocains» a récemment été relayé par plusieurs médias marocains. A l’origine de ce fait-divers scandaleux, un média espagnol qui repêche une information datant de l’année dernière.
D’après l’association Trajectoires, la prise de stupéfiants par les mineurs marocains déambulant à la Goutte-d’Or est encouragée, voire entretenue, pour les inciter à commettre des actes de délinquance. Un véritable cercle vicieux.