Dans une première et après plusieurs années de mobilisation, l’association Sourire de Reda s’est alliée au secteur de la santé publique, dans le cadre des efforts de mise en place d’une stratégie nationale de prévention contre le suicide. Cette action sera ainsi institutionnalisée, grâce à un processus harmonisé à l’échelle du ministère de tutelle.
Docteure en maladies infectieuses et santé publique, Charifa Zemouri conseille aussi plusieurs institutions néerlandaises notamment en matière de politiques publiques liées à la Santé. La Néerlando-marocaine se livre sur sa quête d’indépendance scientifique.
21 des cas actifs que compte Tanger font partie du personnel médical public. Ils sont répartis entre les professionnels du Centre hospitalier universitaire, l’hôpital régional et de différents centres de santé. Le bilan est lourd, au cœur d’une ville où les travailleurs du secteur sont épuisés par la charge de travail.
La crise sanitaire servira-t-elle à la réforme du système de santé marocain ? Le gouvernement annonce une loi nationale sur la santé publique avec de nouvelles ambitions.
Médecin ayant exercé au Maroc, en Espagne et au Chili avant d’être écrivaine et travailler sur les interprétations humanistes des textes religieux, Asma Lamrabet voit la crise sanitaire liée au coronavirus avec du recul. Elle livre à Yabiladi ses impressions sur ce que doivent être, dans un futur proche, les priorités du secteur de la santé au Maroc.
Organisés en Coordination des médecins pour la justice salariale, des praticiens du secteur public au Maroc ont récemment pointé du doigt le manque de transparence de passations de marchés, entreprises par le ministre Anas Doukkali. Selon eux, ce dernier aurait accéléré l’opération en pressentant son éventuel départ du gouvernement.