En conseil de défense et de sécurité nationale, dimanche, le président français Emmanuel Macron a promis des «actions concrètes» pour sécuriser prioritairement les établissements scolaires. Il a critiqué par ailleurs une instrumentalisation de l’islamophobie, tout en promettant que «les islamistes ne doivent pas pouvoir dormir tranquilles».
A la suite du discours du président Emmanuel Macron, qui a donné ce vendredi les grandes lignes du projet de loi contre le séparatisme, des chercheurs et des acteurs de la société civile française s'inquiètent de la tournure du débat concernant l’islam de France. Ils estiment que ce texte risque d’institutionnaliser une islamophobie justifiée par la loi.
Ce vendredi, le président français Emmanuel Macron a donné les grandes lignes du projet de loi contre le séparatisme. Clamant que le pays a créé son «propre séparatisme», il propose d’étendre certaines mesures restrictives aux délégataires du service publique ou encore aux associations. L'islam est particulièrement visé.
Alors que la Franco-marocaine Nadia Hai vient d'être nommée ministre déléguée à la Ville, son suppléant Moussa Ouarouss aurait dû la suppléer au poste de député de la circonscription de Trappes. Retour sur l'étrange parcours du Franco-marocain.