La soirée d’hier a été particulièrement agitée à la Chambre des conseillers. La séance plénière, consacrée à la clôture de la session d'automne au titre de l'année législative 2012-2013, a été, en effet, secouée par une querelle unique en son genre, entre le chef du gouvernement Abdelilah Benkirane et le conseiller Driss Radi au plus grand bonheur des
Et ça continue ! Après plusieurs opérations de démantèlement de réseaux de trafic de drogue au Maroc, les autorités viennent de mettre la main sur un important réseau à Errachdia. Plusieurs tonnes de cannabis saisies.
Pas de répit, en ce début d'année 2013, pour le documentaire «Tinghir-Jérusalem : les Echos du Mellah» de Kamal Hachkar. Après avoir été censuré en novembre dernier d’un évènement cinématographique à Agadir (cf article), un député du PJD s’attaque une nouvelle fois au film l’accusant d’être sioniste.
C’est la deuxième fois qu’Abdelilah Benkirane participe, depuis son élection à la tête du gouvernement marocain, au Forum économique de Davos, en Suisse, qui réunit chaque année l’élite politique et financière du monde entier. Cette année, le chef du gouvernement marocain a choisi de vanter «la stabilité économique» du Maroc.
Impunité, c'est le sentiment qui traverse de nombreux citoyens face aux révélations de ces premières semaines de l'année avec notamment l'affaire Maroclear et CCME. En vue de bousculer ces normes et faire de la reddition des comptes la règle, Yabiladi a sollicité l'avis d'un président d’une association et d'un député, membre de la Commission de la Justice, sur les moyens à même d’assurer une
Ali El Gazi, ancien commissaire à la DGST, revient sur l'existence du centre de détention de Témara. un lieu dont la classe politique nie bien volontiers l'existence malgré l'insistance des ONG internationales.
Visiblement, les responsables marocains ont un faible pour le chocolat. Du moment qu’il s’agit d’argent public, ils cèdent facilement à la tentation. Hier c’était Habib Malki à l’époque où il était ministre de l’Education nationale et aujourd’hui, c’est Fathia Bennis, la directrice d’une société publique de placement boursier, qui lui emboîte le pas. Détails.
La polémique enfle sur le rejet du PJD d’une proposition de loi présentée par l’USFP visant à considérer comme viol tout rapport sexuel avec un enfant mineur. Certains ont même accusé les islamistes d’encourager la pédophilie. Dans un entretien accordé à notre site, le député Abdessamad El Idrissi explique les raisons «juridiques» à l’origine du vote des parlementaires
En ce début de 2013, c’est Hamid Chabat qui tient la vedette. Ses critiques au gouvernement vont crescendo. En absence d’une opposition, au parlement, qui pourrait tenir tête au PJD, le patron de l’Istiqlal, a apparemment horreur du vide, et du coup, remplit cette mission.