Le sixième round de négociation entamé le 18 juillet dernier a connu une fin heureuse. Le Maroc et l’Union européenne viennent de parapher un nouvel accord de pêche valable pendant 4 ans. Avec, entre autres, 40 millions d’euros de contrepartie financière, Rabat et Bruxelles s’estiment satisfaits.
En dépit du climat de bonne entente qui prévaut, actuellement, entre le Maroc et l’Espagne, les deux pays n’arrivent pas encore à adopter la même position sur le Sahara occidental et l’accord de pêche. La déclaration «commune», publiée aujourd’hui par la presse du voisin du nord, traduit parfaitement ce constat.
La corruption atteint des proportions de plus en plus grandes au fil des années au Maroc, à en croire un récent sondage. Le Conseil de l’Europe s’est penché sur la question et vient de lancer un processus de diagnostic du système de lutte anti-corruption du Maroc. A terme, un débat sera ouvert avec notamment des représentants de la société civile.
Alors qu'on en parlait encore récemment au conditionnel, Bruxelles a confirmé la tenue, le 18 juillet prochain à Rabat, du sixième round des négociations entre le Maroc et l'Union européenne (UE) pour la signature du nouveau protocole de pêche. La presse espagnole estime que cette étape pourrait marquer l'adoption définitive de l'accord. La visite du roi espagnol à la veille des pourparlers maroco-européens
Les armateurs et les pêcheurs, de l’Andalousie, la Galicie et des Iles Canaries, attendent avec impatience la signature d’un nouvel accord de pêche entre le Maroc et l’UE. Un objectif difficile à réaliser. La clause exigée par Bruxelles sur le respect des droits de l’Homme au Sahara n’est, pour le moment, pas acceptée par Rabat.
Le Maroc est appelé par ses bailleurs de fonds, FMI et BM, et par son premier partenaire économique, l’Union européenne, à engager rapidement des réformes sociales et économiques.
Les négociations sur l’accord de libre-échange approfondi et global entre le Maroc et l’Union européenne (UE) n’ont pas encore abouti, mais un expert européen se veut porteur de bonne nouvelle pour le royaume. D’après son analyse, le protocole biparti permettrait au gouvernement chérifien de gagner 1% du PIB annuel. Une évaluation très alléchante pour le Maroc, mais déclarée erronée
S’il y a un sujet où la droite en Espagne est à cheval, c’est bien entendu, sur la sécurité. Le gouvernement Rajoy se met à la page et crée son Conseil National de Sécurité. Un SNC qui considère le Maroc comme une menace sérieuse. Les dossiers de conflits avec Rabat sont multiples. Pire, en cas de guerre, Madrid devrait compter sur sa propre armée. Ni l’UE ni l’OTAN ne lui seront
Mohamed Aziz, sa femme et leurs trois enfants pourraient bientôt retourner à leur domicile familial, plus de deux ans après leur expulsion. Après l’Union européenne, la justice espagnole lui donne, à son tour, raison dans le procès qui l'oppose à son banquier. Ce verdict n'est rien d'autre que la victoire «des faibles sur les forts», selon ce MRE.