A l’instar des Algériens et des Albanais, les Marocains ont été moins nombreux à formuler une demande d’asile aux autorités néerlandaises entre janvier et juin 2017. Pour l’heure, le ministère de la Sécurité et de la justice se garde toutefois de parler d’une «tendance» à la baisse.
Plus qu’un pays de transit, le Maroc s’illustre de plus en plus comme une terre d’accueil. Qu’en est-il de l'impact des réfugiés sur le royaume ?
Le Bureau des réfugiés et des apatrides a recommencé il y a quelques semaines à auditionner des demandeurs d’asile. La première fois depuis plus de 16 mois. Une partie d’entre eux vit dans le plus grand dénuement et demande l’assistance du Maroc.